Lesoignons, leur prix variait entre 25 et 30 dinars le kilogramme, et les carottes entre 80 et 70 dinars, selon la qualité. Quant à la Citron son prix atteint 350 Da le kilogramme, contre 180 DA avant, la salade, son prix est de 120 dinars, les haricots verts aussi montaient à 200 dinars, contre 180 dinars le kilogramme quelques jours avant. De leurs part; les
Le ministre du Commerce, Kamel Rezig, a promis vendredi Ă  Blida des sanctions dissuasives contre les commerçants spĂ©culateurs qui augmentent dĂ©libĂ©rĂ©ment les prix des fruits et lĂ©gumes pendant le mois de Ramadhan mus par l’appĂąt du gain rapide. Lors d’une visite inopinĂ©e au marchĂ© de gros des fruits et lĂ©gumes de Boufarik nord au premier jour du mois sacrĂ© de Ramadhan, M. Rezig a prĂ©venu les commerçants spĂ©culateurs qui augmentent dĂ©libĂ©rĂ©ment leurs prix qu’ils se verront saisir leurs marchandises s’ils ne proposent pas des prix Ă  la portĂ©e du simple citoyen. D’un ton ferme, le ministre a ordonnĂ© aux commerçants de proposer leurs marchandises Ă  des prix raisonnables, notamment celles trĂšs demandĂ©es pendant le mois de Ramadhan. S’étonnant que les prix aient doublĂ© en moins d’une semaine, le ministre a appelĂ© les commerçants Ă  penser un peu au simple citoyen en ce mois sacrĂ©. APS
Commeattendu, en raison de la vague de froid, les prix des lĂ©gumes et des fruits commencent Ă  augmenter, comme s’ils voulaient s’envoler. D’ailleurs, lors d’une tournĂ©e que nous avons effectuĂ©e dans les diffĂ©rents marchĂ©s de la capitale, notamment le marchĂ© de la Lyre et celui de Meissonier, nous avons constatĂ© que les prix des produits de premiĂšre nĂ©cessitĂ© ont connu Plusieurs spĂ©culateurs profitant de l’afflux des citoyens sur les marchĂ©s des fruits et lĂ©gumes et les produits de large consommation en raison de la propagation de la pandĂ©mie du coronavirus en AlgĂ©rie, ont fait monter les prix de deux, voire trois fois plus le prix rĂ©el des produits. En effet, en plus de la panique créée par le coronavirus, les citoyens sont choquĂ©s par la flambĂ©e des prix de plusieurs produits de large consommation. Une flambĂ©e causĂ©e principalement par les spĂ©culateurs qui voient dans la conjoncture actuelle une opportunitĂ© pour le gain facile. Aussi, les citoyens qui se ruent vers les centres commerciaux, crĂ©ent des pĂ©nuries qui engendrent des hausses dans les prix. Et ce, juste aprĂšs l’annonce par le gouvernement des mesures prĂ©ventives contre la propagation du virus Covid-19. Comme on peut le constater sur les plus grands marchĂ©s de gros, plusieurs fruits et lĂ©gumes ont vu leur prix doubler, voire tripler comparativement Ă  la vielle. D'autres ont connu une augmentation de 20 Ă  50 dinars sur le marchĂ© de dĂ©tail, notamment les produits les plus prisĂ©s comme la pomme de terre, qui est passĂ©e de 35 dinars sur les marchĂ©s de gros pour atteindre 75 dinars le kilogramme. La spĂ©culation des uns et la ruĂ©e des autres A noter que le prix d'un kilogramme de poivron a atteint 150 dinars le kilogramme au prix de gros, alors qu'il ne dĂ©passait pas les 100 dinars deux jours auparavant. C'est le mĂȘme topo avec diffĂ©rents lĂ©gumes comme la carotte qui a atteint les 50 dinars, la courgette dont le prix de gros affiche 60 dinars. Il faut dire aussi que mĂȘme les lĂ©gumes secs ont connu la flambĂ©e, enregistrant des hausses variant entre 10 et 30 dinars pour chaque kilogramme. Par ailleurs, l'Association pour la protection et l'orientation du consommateur et son environnement APOCE a mis en garde les vendeurs contre la spĂ©culation des prix des produits de large consommation et des denrĂ©es alimentaires. Son prĂ©sident, Mustapha Zebdi, a appelĂ© Ă  des sanctions sĂ©vĂšres contre tous ceux spĂ©culent sur les prix en AlgĂ©rie. Il a par ailleurs invitĂ© les consommateurs Ă  ne pas crĂ©er la pĂ©nurie en gardant leur calme et en faisant leurs courses comme Ă  leurs habitudes. Lire aussi Alerte Tebboune annonce de nouvelles mesures contre le Coronavirus
LemarchĂ© des fruits et lĂ©gumes ne connaĂźt toujours pas de baisse de la «tempĂ©rature». Pis, dans diffĂ©rents marchĂ©s de la capitale, les prix poursuivent leur envol, au grand dam des consommateurs qui s’interrogent jusqu’oĂč cette flambĂ©e ira. En effet, la mercuriale connaĂźt, depuis quelques jours, une hausse affolante. Sans rĂ©pit pour la bourse des
Nouvelle flambĂ©e des prix des fruits en AlgĂ©rie. La banane, la poire, les fraises, les figues, les pommes sont inaccessibles pour les moyennes et les petites bourses. La fraise est Ă  400 dinars, la banane se vend entre 700 et 1000 dinars le kilo, les raisins Ă  plus de 280 dinars, les figues Ă  750 dinars sur certains marchĂ©s
 Un constat que confirme le prĂ©sident de l’Association de protection du consommateur APOCE, Mustapha Zebdi. Les prix des fruits de cette saison sont trĂšs chers. On n’est plus dans la situation des prix abordables comme ce fut le cas dans les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. MĂȘme la pastĂšque qui coĂ»tait 30-40 DA le kilo, il est trĂšs rare de la retrouver Ă  ce prix. La nectarine coĂ»te de 250 Ă  350 DA/kg. Pour nous ce sont des prix toujours Ă©levĂ©s », commente-t-il. Et de citer en exemple la banane dont les prix durant l’étĂ© sont Ă  leurs niveaux les plus bas. C’est un produit trĂšs concurrentiel et qui tire vers le bas les prix des fruits saisonniers. Avec le manque de la banane, les fruits locaux n’ont pas connu la diminution qu’on a eu l’habitude de connaĂźtre par le passĂ© », illustre-t-il. Pour M. Zebdi, le peu de quantitĂ©s de la banane disponible sur le marchĂ© algĂ©rien a créé la spĂ©culation. Les explications de l’Union des commerçants algĂ©riens Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’Union gĂ©nĂ©rale des commerçants algĂ©riens UGCAA, Hazab Benchohra, contactĂ© par TSA, estime que le prix de la banane n’a pas connu de hausse dans les pays de provenance, accusant les intermĂ©diaires algĂ©riens d’avoir fait flamber les prix. À ce que je sache, le prix de la banane n’a pas augmentĂ© en Équateur ou dans un autre pays producteur », indique-t-il. Nous aimerions qu’il y ait une stabilitĂ© des prix. La pomme de terre est le lĂ©gume qui tire vers le haut ou vers le bas les prix des autres lĂ©gumes, et en ce qui concerne les fruits, c’est la banane. Si nous arrivons Ă  maĂźtriser les prix de ces deux produits, Ă  des niveaux raisonnables, le marchĂ© se stabilisera », a expliquĂ© M. Benchohra. Le SG de l’UGCAA regrette l’absence de donnĂ©es sur les quantitĂ©s produites de fruits et lĂ©gumes dont a besoin le marchĂ©. On est dans l’approximatif », dit-il. Tant que nous ne savons pas quels sont nos besoins dans chaque produit, tant que nous n’avons pas une idĂ©e s’il y a un surplus ou un manque, on n’y changera rien », souligne-t-il. D’autre part, le SG de l’UGCAA Ă©voque l’élĂ©ment liĂ© Ă  la rĂšgle de l’offre et de la demande, qui veut qu’une disponibilitĂ© de tel ou tel autre produit dĂ©termine le prix de vente sur le marchĂ©. Pour stabiliser les prix, M. Benchohra affirme qu’il y a lieu d’organiser le marchĂ©. Si nous restons dans cet Ă©tat, on aura chaque jour un problĂšme », concĂšde-t-il. Le problĂšme de la spĂ©culation est un autre facteur qui fait que les prix des produits de large consommation atteignent des seuils intolĂ©rables en AlgĂ©rie, rappelle le reprĂ©sentant des commerçants, tout en avertissant ceux qui s’adonnent Ă  ces pratiques s’exposent Ă  la nouvelle rĂ©glementation relative Ă  la lutte contre ce flĂ©au. Les spĂ©culateurs doivent payer », exhorte M. Benchohra, qui souhaite un approvisionnement rĂ©gulier du marchĂ©, tout en soulignant qu’il ne s’agit pas de l’inonder jusqu’à faire chuter drastiquement les prix et causer des pertes aux commerçants. Le mode de consommation des AlgĂ©riens est Ă©galement mis en avant par le SG de l’UGCAA qui plaide en faveur d’une culture de consommation ». Lorsque le prix d’un produit est trĂšs Ă©levĂ©, abstenons-nous et les prix diminuent. Autrement, nous faisons l’affaire de ces spĂ©culateurs qui s’en tiennent aux prix Ă©levĂ©s en se persuadant que la demande est lĂ  », explique M. Benchohra. Prixdes fruits et lĂ©gumes : BrĂ»lante, la mercuriale. Par Houda H. 26 aoĂ»t 2017. 0. 2401. Photo Ania Ziani @ L'Echo d'AlgĂ©rie. Les prix des produits suffisamment disponibles comme l’oignon ou la pastĂšque sont restĂ©s relativement stables, contrairement Ă  ceux des produits comme les haricots verts, la courgette, la tomate ou la salade A l’approche du mois de Ramadan, l’alimentation est au cƓur des prĂ©occupations et la hausse des prix inquiĂšte les foyers dont le pouvoir d’achat est minime compte tenu de l’inflation. L’ensemble des denrĂ©es alimentaires est impactĂ©, et les prix flambent. En effet, la pomme de terre qui constitue la base de l’alimentation des algĂ©riens affiche un prix supĂ©rieur Ă  100 DA ce qui est clairement trop Ă©levĂ© pour le peuple et ce malgrĂ© toutes les initiatives annoncĂ©es par les autoritĂ©s compĂ©tentes ces derniĂšres semaines. Les courgettes sont affichĂ©es Ă  200 DA et les tomates Ă  130 DA. Les fruits connaissent le mĂȘme sort, par exemple la pomme locale atteint les 900 dinars le kilo, et l’importĂ©e prĂšs de 1800 dinars un prix record. Quant Ă  la banane, elle se vend entre 500 et 550 dinars le kilo Ă  la capitale. Les dattes, largement consommĂ©es durant le mois de Ramadan pour rompre le jeĂ»ne, sont tout aussi chĂšres affichant 900 DA/Kilo. NĂ©anmoins, grĂące Ă  un stock de pomme de terre mis en place en guise de prĂ©vention, sept wilayas Ain Defla, Blida, Skikda, M’Sila, Bouira, El Oued et Chlef affichent des prix plus rĂ©duits soit 60 dinars le kilo. Des pĂ©nuries d’huile et de semoule, a quelques jours de Ramdane ? Les pĂ©nuries sont monnaie courante ces derniers temps et le peuple algĂ©rien redoutent celle des denrĂ©es utilisĂ©es quotidiennement. C’est dans ce contexte que directeur gĂ©nĂ©ral de la RĂ©gulation et l’Organisation des marchĂ©s au ministĂšre du Commerce, Sami Koli a pris la parole sur la Radio nationale ChaĂźne 1. Selon lui, c’est l’afflux en masse des citoyens vers la semoule qui crĂ©e ce manque. De plus, il met en avant la spĂ©culation et le stockage excessif de ces produits alimentaires de large consommation qui sont souvent la cause des hausses des prix en AlgĂ©rie. L’initiative du prĂ©sident de la rĂ©publique Abdelmadjid Tebboune, qui consiste en l’interdiction d’exporter les produits importĂ©s devrait d’ailleurs jouer en faveur du citoyen. Inflationdes prix : les taux des produits alimentaires en augmentation. Effectivement, les prix des produits agricoles frais ont connu une augmentation de 7,1 %. Contrairement aux Ɠufs, qui ont baissĂ© de 0,5 %. Autrement, le reste des produits a affichĂ© des variations positives. À savoir, les fruits et lĂ©gumes +14,7 % et +11 % AlgĂ©rie – Suite Ă  la fluctuation des prix qu’ont connu les fruits et lĂ©gumes en dĂ©but de la saison estivale en AlgĂ©rie, le marchĂ© enregistre aujourd’hui une baisse remarquable. Dzair Daily vous dĂ©voile les prix dans ce qui suit, dans son Ă©dition du 8 aoĂ»t 2022. En effet, le citoyen algĂ©rien a fait face Ă  une hausse des prix des fruits et lĂ©gumes avant et aprĂšs la pĂ©riode de l’AĂŻd El Adha. Cette pĂ©riode enregistre chaque annĂ©e une flambĂ©e des prix des produits de large consommation. Cependant, les marchĂ©s en AlgĂ©rie ont connu, ces jours-ci, une chute considĂ©rable quant au prix des fruits et lĂ©gumes. Il s’agit lĂ  de ce que rapporte la chaĂźne tĂ©lĂ©visĂ©e Echorouk. Effectivement, vous avez probablement remarquĂ© une tendance baissiĂšre chez la plupart des vendeurs de fruits et lĂ©gumes. Le consommateur va enfin pouvoir faire ses courses paisiblement. Cela s’ajoute Ă©galement Ă  la baisse du pouvoir d’achat, rapporte le mĂȘme mĂ©dia. Par ailleurs, le marchĂ© de lĂ©gumes de la capitale a vu une stabilitĂ© concernant les prix de ces aliments. Selon le tĂ©moignage d’un citoyen interrogĂ© par ledit mĂ©dia, certains commerçants proposent des prix raisonnables et d’autres, en revanche, se maintiennent aux prix Ă©levĂ©s. Les prix des fruits et lĂ©gumes pour ce mois d’aoĂ»t Une virĂ©e effectuĂ©e par Echorouk sur le marchĂ© d’Alger nous tĂ©moigne de la baisse des prix actuelle. Les deux partis sont gagnants, aussi bien le commerçant que le client qui ont exprimĂ© leur satisfaction aux micros de la chaĂźne tĂ©lĂ©visĂ©e. Notamment avec les prix qui ne cessent d’augmenter depuis le dĂ©but de cette annĂ©e 2022. En ce qui concerne les prix des lĂ©gumes, un des vendeurs du marchĂ© s’est exprimĂ© Ă  ce sujet. Pour le poivron et le piment, ces aliments sont actuellement Ă  70 DA, le navet est Ă  60 DA. Le prix des haricots verts est affichĂ© Ă  120 DA. Ainsi que l’oignon qui bat le record avec le prix de 35 DA. Pour ce qui est de la pomme de terre, le lĂ©gume est Ă  seulement 60 DA. La courgette, de son cĂŽtĂ©; est cĂ©dĂ©e Ă  50 DA. La carotte a vu son prix baissĂ© de 150 DA Ă  60 DA. Du cĂŽtĂ© des fruits, les raisins sont Ă  100 DA ainsi que la nectarine qui est vendue au prix de 70 DA, apprend-on de la mĂȘme source. Lesviandes aussi sont concernĂ©es par ce recul des tarifs, que nous essayerons d’expliquer dans la suite de cet article. Il faut savoir que cette baisse des prix est survenue du jour au lendemain. La plupart des fruits et lĂ©gumes sont concernĂ©s. À l’instar de la pomme de terre, qui est passĂ©e de 120 Ă  60 dinars le kilogramme. Les tomates sont actuellement affichĂ©es Les prix de certains produits de consommation se maintiennent Ă  des niveaux Ă©levĂ©s, ce qui met Ă  rude Ă©preuve le pouvoir d’achat des AlgĂ©riens. La filiĂšre avicole ainsi que celle des fruits et lĂ©gumes sont plus touchĂ©es par l’inflation. Jusqu’oĂč Ă©volueront les prix ? C’est aux spĂ©cialistes de la filiĂšre et aux pouvoirs publics de dire jusqu’oĂč iront les prix ? Jusqu’à maintenant on ne voit pas le bout du tunnel dans la filiĂšre avicole. On pensait qu’aprĂšs la premiĂšre hausse des prix du kilogramme de poulet qu’il y allait avoir une rĂ©gulation, laquelle n’a finalement pas eu lieu », a dĂ©clarĂ© Ă  TSA, le prĂ©sident de l’Association des consommateurs Apoce, Mustapha Zebdi. Le kilogramme de poulet a augmentĂ© de 30% en l’espace d’un mois, entre aoĂ»t et septembre, atteignant le prix de 500 dinars, contre 350 DA quelques jours avant la flambĂ©e. Lire aussi Inflation la hausse des prix est-elle une fatalitĂ© pour l’AlgĂ©rie ? Jusqu’à hier dimanche 31 octobre, le kilo de poulet Ă©tait Ă  510 DA. Selon les Ă©leveurs, la hausse des prix du poulet est due Ă  l’augmentation des prix du poussin et des aliments de volaille. Le prix du poussin a atteint 200 DA voire 230 DA, selon le prĂ©sident de l’Apoce. Un prix exorbitant qui n’arrange pas les Ă©leveurs. Au point que certains ont abandonnĂ© l’activitĂ© avicole. MalgrĂ© des propositions formulĂ©es par l’Apoce, il n’y a aucune rĂ©ponse », a dĂ©plorĂ© Mustapha Zebdi qui avance quelques pistes pour rĂ©sorber cette crise. Nous avons applaudi le plafonnement du prix du poussin Ă  120 DA, nous avons nĂ©anmoins prĂ©conisĂ© que la vente ne soit pas faite par des opĂ©rateurs privĂ©s. Ils auront toujours les moyens de rehausser le prix tout en facturant Ă  120 DA. C’est ce qui a d’ailleurs eu lieu», a affirmĂ© M. Zebdi. L’Apoce a Ă©galement demandĂ© de recourir en urgence » Ă  l’importation d’Ɠufs fĂ©condĂ©s, chose qui n’a pas eu lieu jusqu’à ce jour», a poursuivi Zebdi qui dĂ©plore que certains opĂ©rateurs privĂ©s aient connu des contraintes dans cette dĂ©marche ». On ne comprend plus ce qui se passe » Jusqu’à ce jour ces contraintes n’ont pas encore Ă©tĂ© levĂ©es », a ajoutĂ© le prĂ©sident de l’Apoce. Pour espĂ©rer revenir Ă  une situation normale, nous sommes malheureusement dans l’obligation d’importer des poussins et de veiller Ă  avoir un nombre suffisant de poules mĂšres », a exhortĂ© M. Zebdi. Les acteurs de la filiĂšre avicole et particuliĂšrement le comitĂ© interprofessionnel sont censĂ©s fournir un Ă©tat des lieux juste et clair avec des solutions aux pouvoirs publics. Ils ont un rĂŽle important Ă  jouer. Le fait qu’ils ne rĂ©agissent pas en temps opportun ne fera que compliquer la situation », estime Mustapha Zebdi. La filiĂšre fruits et lĂ©gumes est Ă©galement sous les feux des critiques de l’Apoce. Les prix n’ont pas baissĂ© malgrĂ© les derniĂšres annonces des pouvoirs publics relatives Ă  des sanctions exemplaires 30 annĂ©es de prison Ă  l’encontre des spĂ©culateurs. En toute sincĂ©ritĂ© en tant qu’association nous avons le ras le bol de toujours suivre ce dossier et de faire des propositions. Il ne faut pas laisser les choses empirer jusqu’à ce que la situation Ă©chappe au contrĂŽle », s’offusque Zebdi. Le cas de la pomme de terre suscite l’incomprĂ©hension du prĂ©sident de l’Apoce. MalgrĂ© les dĂ©stockages il y a quand mĂȘme une hausse des prix. Cela ne rĂ©pond Ă  aucune logique Ă©conomique», s’insurge notre interlocuteur. Le gouvernement a annoncĂ© un prix rĂ©glementĂ© de 50 DA le kilo de pomme de terre saisie. Sur les marchĂ©s, le kilo de ce tubercule est cĂ©dĂ© Ă  120 DA, voire plus. On ne comprend plus ce qui se passe. Il n’y a aucun Ă©tat des lieux prĂ©cis sur la situation. Ou bien les informations qui sont fournies sont fausses oĂč il y a d’autres paramĂštres imperceptibles pour nous et contribuant Ă  l’instabilitĂ© du marchĂ© », conclut Zebdi. Les derniers articles Lesprix des fruits et lĂ©gumes flambent. Profitant de la forte demande sur certains produits alimentaires et de la fermeture de nombreux commerces, des commerçant ont augmentĂ© les prix Ă  leur guise durant ces deux jours de fĂȘte. En dĂ©pit d’une situation sanitaire prĂ©occupante, les mosquĂ©es ont fait le plein de fidĂšles pour la priĂšre

La flambĂ©e des prix des fruits et des lĂ©gumes en AlgĂ©rie n’est un secret pour personne. À la fin d’un douteux circuit qu’empruntent ces aliments vitaux, c’est le simple consommateur qui paye le plus souvent le prix de la spĂ©culation. Face Ă  ce phĂ©nomĂšne qui prend de plus en plus de l’ampleur, le ministĂšre du Commerce a dĂ©cidĂ© d’agir. Le dĂ©partement de Kamel RĂ©zig a Ă©mis hier une note qui entre dans le cadre des efforts du gouvernement pour la rĂ©gulation des marchĂ©s ».En effet, une note Ă©manant du dĂ©partement du ministre du Commerce Kamel RĂ©zig a fait savoir hier que les agriculteurs ne sont dĂ©sormais soumis Ă  aucune restriction s’ils comptaient toutefois vendre leurs diffĂ©rents produits en gros ou en dĂ©tail directement aux consommateurs. Les agriculteurs voulant mettre directement leurs produits Ă  la vente en gros ou en dĂ©tail peuvent dĂ©sormais le faire “sans aucune autorisation prĂ©alable”, indique le communiquĂ© du ministĂšre, partagĂ© sur les rĂ©seaux lutte contre la spĂ©culationLa raison d’ĂȘtre d’une telle dĂ©cision est, selon le dĂ©partement de Kamel RĂ©zig, une volontĂ© de “rĂ©guler et contrĂŽler les marchĂ©s et de poursuivre les opĂ©rations de lutte contre toute forme de spĂ©culation”. La spĂ©culation qui devient d’ailleurs un flĂ©au qui met Ă  nu l’absence de la main mise du gouvernement sur les prix pratiquĂ©s au niveau des marchĂ©s de fruits et donc dans l’espoir que les producteurs se convertissent en commerçants que le ministĂšre du Commerce les invite Ă  vendre leurs diffĂ©rents produits en gros et aux marchĂ©s de dĂ©tail directement au consommateur sur l’ensemble du territoire national, Ă  compter du dimanche 5 septembre 2021″. Le ministĂšre a conclu que les agriculteurs qui dĂ©sirent aller dans ce sens n’auront besoin ni d’”une licence, ni une autorisation prĂ©alable, ni une intermĂ©diaire“.

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