Nouvelle flambĂ©e des prix des fruits en AlgĂ©rie. La banane, la poire, les fraises, les figues, les pommes sont inaccessibles pour les moyennes et les petites bourses. La fraise est Ă 400 dinars, la banane se vend entre 700 et 1000 dinars le kilo, les raisins Ă plus de 280 dinars, les figues Ă 750 dinars sur certains marchĂ©s⊠Un constat que confirme le prĂ©sident de lâAssociation de protection du consommateur APOCE, Mustapha Zebdi. Les prix des fruits de cette saison sont trĂšs chers. On nâest plus dans la situation des prix abordables comme ce fut le cas dans les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. MĂȘme la pastĂšque qui coĂ»tait 30-40 DA le kilo, il est trĂšs rare de la retrouver Ă ce prix. La nectarine coĂ»te de 250 Ă 350 DA/kg. Pour nous ce sont des prix toujours Ă©levĂ©s », commente-t-il. Et de citer en exemple la banane dont les prix durant lâĂ©tĂ© sont Ă leurs niveaux les plus bas. Câest un produit trĂšs concurrentiel et qui tire vers le bas les prix des fruits saisonniers. Avec le manque de la banane, les fruits locaux nâont pas connu la diminution quâon a eu lâhabitude de connaĂźtre par le passĂ© », illustre-t-il. Pour M. Zebdi, le peu de quantitĂ©s de la banane disponible sur le marchĂ© algĂ©rien a créé la spĂ©culation. Les explications de lâUnion des commerçants algĂ©riens Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de lâUnion gĂ©nĂ©rale des commerçants algĂ©riens UGCAA, Hazab Benchohra, contactĂ© par TSA, estime que le prix de la banane nâa pas connu de hausse dans les pays de provenance, accusant les intermĂ©diaires algĂ©riens dâavoir fait flamber les prix. Ă ce que je sache, le prix de la banane nâa pas augmentĂ© en Ăquateur ou dans un autre pays producteur », indique-t-il. Nous aimerions quâil y ait une stabilitĂ© des prix. La pomme de terre est le lĂ©gume qui tire vers le haut ou vers le bas les prix des autres lĂ©gumes, et en ce qui concerne les fruits, câest la banane. Si nous arrivons Ă maĂźtriser les prix de ces deux produits, Ă des niveaux raisonnables, le marchĂ© se stabilisera », a expliquĂ© M. Benchohra. Le SG de lâUGCAA regrette lâabsence de donnĂ©es sur les quantitĂ©s produites de fruits et lĂ©gumes dont a besoin le marchĂ©. On est dans lâapproximatif », dit-il. Tant que nous ne savons pas quels sont nos besoins dans chaque produit, tant que nous nâavons pas une idĂ©e sâil y a un surplus ou un manque, on nây changera rien », souligne-t-il. Dâautre part, le SG de lâUGCAA Ă©voque lâĂ©lĂ©ment liĂ© Ă la rĂšgle de lâoffre et de la demande, qui veut quâune disponibilitĂ© de tel ou tel autre produit dĂ©termine le prix de vente sur le marchĂ©. Pour stabiliser les prix, M. Benchohra affirme quâil y a lieu dâorganiser le marchĂ©. Si nous restons dans cet Ă©tat, on aura chaque jour un problĂšme », concĂšde-t-il. Le problĂšme de la spĂ©culation est un autre facteur qui fait que les prix des produits de large consommation atteignent des seuils intolĂ©rables en AlgĂ©rie, rappelle le reprĂ©sentant des commerçants, tout en avertissant ceux qui sâadonnent Ă ces pratiques sâexposent Ă la nouvelle rĂ©glementation relative Ă la lutte contre ce flĂ©au. Les spĂ©culateurs doivent payer », exhorte M. Benchohra, qui souhaite un approvisionnement rĂ©gulier du marchĂ©, tout en soulignant quâil ne sâagit pas de lâinonder jusquâĂ faire chuter drastiquement les prix et causer des pertes aux commerçants. Le mode de consommation des AlgĂ©riens est Ă©galement mis en avant par le SG de lâUGCAA qui plaide en faveur dâune culture de consommation ». Lorsque le prix dâun produit est trĂšs Ă©levĂ©, abstenons-nous et les prix diminuent. Autrement, nous faisons lâaffaire de ces spĂ©culateurs qui sâen tiennent aux prix Ă©levĂ©s en se persuadant que la demande est là », explique M. Benchohra.
Prixdes fruits et lĂ©gumes : BrĂ»lante, la mercuriale. Par Houda H. 26 aoĂ»t 2017. 0. 2401. Photo Ania Ziani @ L'Echo d'AlgĂ©rie. Les prix des produits suffisamment disponibles comme lâoignon ou la pastĂšque sont restĂ©s relativement stables, contrairement Ă ceux des produits comme les haricots verts, la courgette, la tomate ou la salade
A lâapproche du mois de Ramadan, lâalimentation est au cĆur des prĂ©occupations et la hausse des prix inquiĂšte les foyers dont le pouvoir dâachat est minime compte tenu de lâinflation. Lâensemble des denrĂ©es alimentaires est impactĂ©, et les prix flambent. En effet, la pomme de terre qui constitue la base de lâalimentation des algĂ©riens affiche un prix supĂ©rieur Ă 100 DA ce qui est clairement trop Ă©levĂ© pour le peuple et ce malgrĂ© toutes les initiatives annoncĂ©es par les autoritĂ©s compĂ©tentes ces derniĂšres semaines. Les courgettes sont affichĂ©es Ă 200 DA et les tomates Ă 130 DA. Les fruits connaissent le mĂȘme sort, par exemple la pomme locale atteint les 900 dinars le kilo, et lâimportĂ©e prĂšs de 1800 dinars un prix record. Quant Ă la banane, elle se vend entre 500 et 550 dinars le kilo Ă la capitale. Les dattes, largement consommĂ©es durant le mois de Ramadan pour rompre le jeĂ»ne, sont tout aussi chĂšres affichant 900 DA/Kilo. NĂ©anmoins, grĂące Ă un stock de pomme de terre mis en place en guise de prĂ©vention, sept wilayas Ain Defla, Blida, Skikda, MâSila, Bouira, El Oued et Chlef affichent des prix plus rĂ©duits soit 60 dinars le kilo. Des pĂ©nuries dâhuile et de semoule, a quelques jours de Ramdane ? Les pĂ©nuries sont monnaie courante ces derniers temps et le peuple algĂ©rien redoutent celle des denrĂ©es utilisĂ©es quotidiennement. Câest dans ce contexte que directeur gĂ©nĂ©ral de la RĂ©gulation et lâOrganisation des marchĂ©s au ministĂšre du Commerce, Sami Koli a pris la parole sur la Radio nationale ChaĂźne 1. Selon lui, câest lâafflux en masse des citoyens vers la semoule qui crĂ©e ce manque. De plus, il met en avant la spĂ©culation et le stockage excessif de ces produits alimentaires de large consommation qui sont souvent la cause des hausses des prix en AlgĂ©rie. Lâinitiative du prĂ©sident de la rĂ©publique Abdelmadjid Tebboune, qui consiste en lâinterdiction dâexporter les produits importĂ©s devrait dâailleurs jouer en faveur du citoyen.
Inflationdes prix : les taux des produits alimentaires en augmentation. Effectivement, les prix des produits agricoles frais ont connu une augmentation de 7,1 %. Contrairement aux Ćufs, qui ont baissĂ© de 0,5 %. Autrement, le reste des produits a affichĂ© des variations positives. Ă savoir, les fruits et lĂ©gumes +14,7 % et +11 %
AlgĂ©rie â Suite Ă la fluctuation des prix quâont connu les fruits et lĂ©gumes en dĂ©but de la saison estivale en AlgĂ©rie, le marchĂ© enregistre aujourdâhui une baisse remarquable. Dzair Daily vous dĂ©voile les prix dans ce qui suit, dans son Ă©dition du 8 aoĂ»t 2022. En effet, le citoyen algĂ©rien a fait face Ă une hausse des prix des fruits et lĂ©gumes avant et aprĂšs la pĂ©riode de lâAĂŻd El Adha. Cette pĂ©riode enregistre chaque annĂ©e une flambĂ©e des prix des produits de large consommation. Cependant, les marchĂ©s en AlgĂ©rie ont connu, ces jours-ci, une chute considĂ©rable quant au prix des fruits et lĂ©gumes. Il sâagit lĂ de ce que rapporte la chaĂźne tĂ©lĂ©visĂ©e Echorouk. Effectivement, vous avez probablement remarquĂ© une tendance baissiĂšre chez la plupart des vendeurs de fruits et lĂ©gumes. Le consommateur va enfin pouvoir faire ses courses paisiblement. Cela sâajoute Ă©galement Ă la baisse du pouvoir dâachat, rapporte le mĂȘme mĂ©dia. Par ailleurs, le marchĂ© de lĂ©gumes de la capitale a vu une stabilitĂ© concernant les prix de ces aliments. Selon le tĂ©moignage dâun citoyen interrogĂ© par ledit mĂ©dia, certains commerçants proposent des prix raisonnables et dâautres, en revanche, se maintiennent aux prix Ă©levĂ©s. Les prix des fruits et lĂ©gumes pour ce mois dâaoĂ»t Une virĂ©e effectuĂ©e par Echorouk sur le marchĂ© dâAlger nous tĂ©moigne de la baisse des prix actuelle. Les deux partis sont gagnants, aussi bien le commerçant que le client qui ont exprimĂ© leur satisfaction aux micros de la chaĂźne tĂ©lĂ©visĂ©e. Notamment avec les prix qui ne cessent dâaugmenter depuis le dĂ©but de cette annĂ©e 2022. En ce qui concerne les prix des lĂ©gumes, un des vendeurs du marchĂ© sâest exprimĂ© Ă ce sujet. Pour le poivron et le piment, ces aliments sont actuellement Ă 70 DA, le navet est Ă 60 DA. Le prix des haricots verts est affichĂ© Ă 120 DA. Ainsi que lâoignon qui bat le record avec le prix de 35 DA. Pour ce qui est de la pomme de terre, le lĂ©gume est Ă seulement 60 DA. La courgette, de son cĂŽtĂ©; est cĂ©dĂ©e Ă 50 DA. La carotte a vu son prix baissĂ© de 150 DA Ă 60 DA. Du cĂŽtĂ© des fruits, les raisins sont Ă 100 DA ainsi que la nectarine qui est vendue au prix de 70 DA, apprend-on de la mĂȘme source.
Lesviandes aussi sont concernĂ©es par ce recul des tarifs, que nous essayerons dâexpliquer dans la suite de cet article. Il faut savoir que cette baisse des prix est survenue du jour au lendemain. La plupart des fruits et lĂ©gumes sont concernĂ©s. Ă lâinstar de la pomme de terre, qui est passĂ©e de 120 Ă 60 dinars le kilogramme. Les tomates sont actuellement affichĂ©es
Les prix de certains produits de consommation se maintiennent Ă des niveaux Ă©levĂ©s, ce qui met Ă rude Ă©preuve le pouvoir dâachat des AlgĂ©riens. La filiĂšre avicole ainsi que celle des fruits et lĂ©gumes sont plus touchĂ©es par lâinflation. JusquâoĂč Ă©volueront les prix ? Câest aux spĂ©cialistes de la filiĂšre et aux pouvoirs publics de dire jusquâoĂč iront les prix ? JusquâĂ maintenant on ne voit pas le bout du tunnel dans la filiĂšre avicole. On pensait quâaprĂšs la premiĂšre hausse des prix du kilogramme de poulet quâil y allait avoir une rĂ©gulation, laquelle nâa finalement pas eu lieu », a dĂ©clarĂ© Ă TSA, le prĂ©sident de lâAssociation des consommateurs Apoce, Mustapha Zebdi. Le kilogramme de poulet a augmentĂ© de 30% en lâespace dâun mois, entre aoĂ»t et septembre, atteignant le prix de 500 dinars, contre 350 DA quelques jours avant la flambĂ©e. Lire aussi Inflation la hausse des prix est-elle une fatalitĂ© pour lâAlgĂ©rie ? JusquâĂ hier dimanche 31 octobre, le kilo de poulet Ă©tait Ă 510 DA. Selon les Ă©leveurs, la hausse des prix du poulet est due Ă lâaugmentation des prix du poussin et des aliments de volaille. Le prix du poussin a atteint 200 DA voire 230 DA, selon le prĂ©sident de lâApoce. Un prix exorbitant qui nâarrange pas les Ă©leveurs. Au point que certains ont abandonnĂ© lâactivitĂ© avicole. MalgrĂ© des propositions formulĂ©es par lâApoce, il nây a aucune rĂ©ponse », a dĂ©plorĂ© Mustapha Zebdi qui avance quelques pistes pour rĂ©sorber cette crise. Nous avons applaudi le plafonnement du prix du poussin Ă 120 DA, nous avons nĂ©anmoins prĂ©conisĂ© que la vente ne soit pas faite par des opĂ©rateurs privĂ©s. Ils auront toujours les moyens de rehausser le prix tout en facturant Ă 120 DA. Câest ce qui a dâailleurs eu lieu», a affirmĂ© M. Zebdi. LâApoce a Ă©galement demandĂ© de recourir en urgence » Ă lâimportation dâĆufs fĂ©condĂ©s, chose qui nâa pas eu lieu jusquâĂ ce jour», a poursuivi Zebdi qui dĂ©plore que certains opĂ©rateurs privĂ©s aient connu des contraintes dans cette dĂ©marche ». On ne comprend plus ce qui se passe » JusquâĂ ce jour ces contraintes nâont pas encore Ă©tĂ© levĂ©es », a ajoutĂ© le prĂ©sident de lâApoce. Pour espĂ©rer revenir Ă une situation normale, nous sommes malheureusement dans lâobligation dâimporter des poussins et de veiller Ă avoir un nombre suffisant de poules mĂšres », a exhortĂ© M. Zebdi. Les acteurs de la filiĂšre avicole et particuliĂšrement le comitĂ© interprofessionnel sont censĂ©s fournir un Ă©tat des lieux juste et clair avec des solutions aux pouvoirs publics. Ils ont un rĂŽle important Ă jouer. Le fait quâils ne rĂ©agissent pas en temps opportun ne fera que compliquer la situation », estime Mustapha Zebdi. La filiĂšre fruits et lĂ©gumes est Ă©galement sous les feux des critiques de lâApoce. Les prix nâont pas baissĂ© malgrĂ© les derniĂšres annonces des pouvoirs publics relatives Ă des sanctions exemplaires 30 annĂ©es de prison Ă lâencontre des spĂ©culateurs. En toute sincĂ©ritĂ© en tant quâassociation nous avons le ras le bol de toujours suivre ce dossier et de faire des propositions. Il ne faut pas laisser les choses empirer jusquâĂ ce que la situation Ă©chappe au contrĂŽle », sâoffusque Zebdi. Le cas de la pomme de terre suscite lâincomprĂ©hension du prĂ©sident de lâApoce. MalgrĂ© les dĂ©stockages il y a quand mĂȘme une hausse des prix. Cela ne rĂ©pond Ă aucune logique Ă©conomique», sâinsurge notre interlocuteur. Le gouvernement a annoncĂ© un prix rĂ©glementĂ© de 50 DA le kilo de pomme de terre saisie. Sur les marchĂ©s, le kilo de ce tubercule est cĂ©dĂ© Ă 120 DA, voire plus. On ne comprend plus ce qui se passe. Il nây a aucun Ă©tat des lieux prĂ©cis sur la situation. Ou bien les informations qui sont fournies sont fausses oĂč il y a dâautres paramĂštres imperceptibles pour nous et contribuant Ă lâinstabilitĂ© du marchĂ© », conclut Zebdi. Les derniers articles
Lesprix des fruits et lĂ©gumes flambent. Profitant de la forte demande sur certains produits alimentaires et de la fermeture de nombreux commerces, des commerçant ont augmentĂ© les prix Ă leur guise durant ces deux jours de fĂȘte. En dĂ©pit dâune situation sanitaire prĂ©occupante, les mosquĂ©es ont fait le plein de fidĂšles pour la priĂšre
La flambĂ©e des prix des fruits et des lĂ©gumes en AlgĂ©rie nâest un secret pour personne. Ă la fin dâun douteux circuit quâempruntent ces aliments vitaux, câest le simple consommateur qui paye le plus souvent le prix de la spĂ©culation. Face Ă ce phĂ©nomĂšne qui prend de plus en plus de lâampleur, le ministĂšre du Commerce a dĂ©cidĂ© dâagir. Le dĂ©partement de Kamel RĂ©zig a Ă©mis hier une note qui entre dans le cadre des efforts du gouvernement pour la rĂ©gulation des marchĂ©s ».En effet, une note Ă©manant du dĂ©partement du ministre du Commerce Kamel RĂ©zig a fait savoir hier que les agriculteurs ne sont dĂ©sormais soumis Ă aucune restriction sâils comptaient toutefois vendre leurs diffĂ©rents produits en gros ou en dĂ©tail directement aux consommateurs. Les agriculteurs voulant mettre directement leurs produits Ă la vente en gros ou en dĂ©tail peuvent dĂ©sormais le faire âsans aucune autorisation prĂ©alableâ, indique le communiquĂ© du ministĂšre, partagĂ© sur les rĂ©seaux lutte contre la spĂ©culationLa raison dâĂȘtre dâune telle dĂ©cision est, selon le dĂ©partement de Kamel RĂ©zig, une volontĂ© de ârĂ©guler et contrĂŽler les marchĂ©s et de poursuivre les opĂ©rations de lutte contre toute forme de spĂ©culationâ. La spĂ©culation qui devient dâailleurs un flĂ©au qui met Ă nu lâabsence de la main mise du gouvernement sur les prix pratiquĂ©s au niveau des marchĂ©s de fruits et donc dans lâespoir que les producteurs se convertissent en commerçants que le ministĂšre du Commerce les invite Ă vendre leurs diffĂ©rents produits en gros et aux marchĂ©s de dĂ©tail directement au consommateur sur lâensemble du territoire national, Ă compter du dimanche 5 septembre 2021âł. Le ministĂšre a conclu que les agriculteurs qui dĂ©sirent aller dans ce sens nâauront besoin ni dââune licence, ni une autorisation prĂ©alable, ni une intermĂ©diaireâ.
Sn77. 55z1yp1kh5.pages.dev/35655z1yp1kh5.pages.dev/31755z1yp1kh5.pages.dev/14655z1yp1kh5.pages.dev/855z1yp1kh5.pages.dev/22955z1yp1kh5.pages.dev/3155z1yp1kh5.pages.dev/33155z1yp1kh5.pages.dev/37055z1yp1kh5.pages.dev/62
prix des fruits et légumes en algérie